tag:blogger.com,1999:blog-3393217359427418618.post2172977877551904888..comments2024-02-08T11:10:36.625+01:00Comments on SUR MON ECRAN RADAR: Nous ne sommes pas (encore) des robots-journalistes !J-C Féraudhttp://www.blogger.com/profile/16470051392837461682noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-3393217359427418618.post-37441232430696712462010-03-09T20:48:04.524+01:002010-03-09T20:48:04.524+01:00Ce n'est pas la première fois que un astrologu...Ce n'est pas la première fois que un astrologue de la science nous pronostique la disparition d'un métier, remplacé par un robot-bidulo-virtuel. J'espère que l'avenir démontrera que celui-ci se trompe...<br /><br />Je ne suis pas dans la profession, mais un modeste observateur (et fan) de la "pressosphère". Je pense que le public acceptera (à défaut de la demander) que des robots-machines leur donne de l'info impersonnelle.<br /><br />Hors, si on a pû constater une désincarnation de la presse depuis 1990 (et la chute de l'URSS) en demandant aux journalistes d'être plus neutres avec leur plume, et jusqu'à ne même plus signer les articles publiés, je constate que Internet redonne de la personnalité et du caractère à l'information.<br /><br />Comme on peut voir sur Twitter, où les journalistes sont la deuxième communauté francophone la plus importante, les journalistes ont profité de cet espace où ils peuvent prolonger leur métier et passion via des blogs ou réseaux sociaux qui leur permettent de signer des articles engagés et signés qui passionnent les internautes ; qui sont souvent leurs lecteurs, ou leurs nouveaux lecteurs...<br /><br />Quand les responsables des groupes de presse auront fait ce constat, et compris que c'est la clé pour renouer des liens commerciaux avec les lecteurs (par des abonnements ou ventes en librairie, éditions imprimées ou numériques), leurs projets de robots-journalistes finiront là où on les appréciera ; à la poubelle !Olivier D. ze kathttp://life2front.com/oliezekatnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3393217359427418618.post-63993574638720661262010-03-09T17:39:27.710+01:002010-03-09T17:39:27.710+01:00Nous ne sommes pas (encore) des robots-lecteurs ré...Nous ne sommes pas (encore) des robots-lecteurs répondrais-je. ;-)<br /><br />Les agences de presse sortent de la news aussi fade que des navets. <br /><br />Qu'est-ce qui différenciera à l'avenir une news sortie de ces labos comparée à ce qu'on lit déjà de la part des agences de presse ? <br /><br />Rien.<br /><br />Il n'y a pas d'âme dans ces news, qui sont pourtant relayées telles qu'elles par des journaux et sites internet dits "sérieux".<br /><br />Au final, le lecteur lambda a donc déjà une certaine uniformité dans les informations qu'il lit et il déjà de la news sans aspérités.<br /><br />Depuis quelques mois, je commence même à observer cette uniformité sur des médias plus chauds que le web : (par ex. qu'est-ce qui différencie - à part l'image - le journal de 08 heures sur la radio XY du journal télévisé de 13h sur la chaine YZ ?).<br /><br />Donc si les journalistes continuent à faire de la soupe et si les journaux continuent à dupliquer telles quelles les infos brutes des agences de presse, alors je pense que ces robots trouveront leur place. Et ils auront raison puisqu'ils coutent moins cher qu'un journaliste pour le même résultat...<br /><br />C'est triste !<br /><br />Comment inverser la tendance ?Gautierhttp://twitter.com/Gautier_Girardnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3393217359427418618.post-3795124100198369872009-12-31T19:44:41.679+01:002009-12-31T19:44:41.679+01:00... ce qui est loin d'être le cas actuellement...... ce qui est loin d'être le cas actuellement! Plus on réduit la longueur des articles (tendance généralisée de la presse quotidienne française), plus on se rapproche des produits des agences de presse et de la presse gratuite, et donc moins on apporte une plus-value au lecteur et moins on l'encourage à débourser un euro et quelques. <br /><br />Mais le "mal" vient à mon avis d'ailleurs: dans la manière dont la plupart des journalistes rédigent leurs articles (et enseignent dans les écoles que c'est la seule et unique bonne recette): l'info forte en début, "afin de s'assurer que le lecteur aura l'info car le slecteurs ne vont jamais au bout des articles", expliquent-ils. C'est partir perdant, vaincu, faire la promotion du zéro style et des articles rasoires (qui pullulent dans les quotidiens). Surtout, c'est oublier qu'un article est une histoire, qu'un info possède un passé, un contexte, et ne se limite pas à un fait! Si le lecteur ne s'intéressait qu'à cela, il se limiterait aux dépêches AFP (ce que tendent à devenir les articles de presse). <br /><br />Cela n'empêche pas les journalistes et les directeurs de journaux de jouer aux vierges effarouchées...Tristannoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3393217359427418618.post-85225732970845882522009-12-22T22:14:25.803+01:002009-12-22T22:14:25.803+01:00Oui ce n'est pas faux. Mais encore faudrait-il...Oui ce n'est pas faux. Mais encore faudrait-il que Google accepte de partager avec la presse les revenus publicitaires réalisés grâce à l'apport de ses contenus. Sinon les journaux vont continuer à se paupériser et l'information sera de plus standardisée qu'elle soit produite par des OS sous-payés ou des logiciels pisse-copie. Mais bon on est d'accord : c'est d'abord à la presse de prendre son avenir en mains et de chercher des modèles viables sur le Net...J-C Féraudhttps://www.blogger.com/profile/16470051392837461682noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3393217359427418618.post-32926449313407155182009-12-22T20:58:43.939+01:002009-12-22T20:58:43.939+01:00Finalement, le seul qui soit menacé dans cette his...Finalement, le seul qui soit menacé dans cette histoire, c'est Google. Imaginons que le contenu "robotisé" envahisse le net et que Google nous sorte dix pages de ce contenu avant d'arriver à un article intéressant: nous changerions de crêmerie. Donc, pour survivre, Google va déclasser ces "génies" du journalisme du futur.Erichttp://crisedanslesmedias.hautetfort.com/noreply@blogger.com